Afin de poursuivre la mobilisation* contre la dotation globale horaire,
dans l'intérêt de nos enfants à la rentrée prochaine, et afin de
permettre au plus grand nombre de comprendre et participer, nous
invitons les parents à venir lors de la réunion de préparation du
prochain conseil d’administration.
Cette réunion se tiendra le jeudi 09 mars à 20h30 salle Dupeau (à côté de la Mairie)
* Rappel des éléments ayant conduit à la mobilisation des parents et enseignants du collège Abbal :
La proposition du Rectorat concernant le nombre de classes au collège André Abbal de Carbonne ne comporte que 4 classes par niveau.
Or nous savons qu’une classe supplémentaire en 5è et une en 4è seront nécessaires pour accueillir les élèves.
Voici le déroulement des différentes opérations et actions qui ont amené les parents à soutenir les professeurs dans leur action du 27 février dernier (point 5 de cette liste) :
- Lors du CA (conseil d’administration du collège) du 23 février dernier : Le CA a voté contre la répartition des heures pour alerter le rectorat (la répartition ne concerne pas le nombre de classe imposé par le rectorat mais l’organisation des heures de cours, en respectant les horaires imposés par l’Education Nationale). Le vote était abondé d’une motion expliquant cette décision.
- Suite à ce vote, un CA extraordinaire a été convoqué pour soumettre à nouveau la répartition au vote : Absence des profs et de parents pour le rendre invalide faute de quorum.
- Suite à la non validité du CA extraordinaire, nous avons été reçus au Rectorat : là, parents, professeurs et Mme la principale du collège, avons argumenté pour faire comprendre au Rectorat notre point de vue. Et demander un nombre suffisant de classes. La réponse donnée et que le calcul sera refait en juin.
- Nouveau CA extraordinaire pour valider la répartition horaire : Vote contre. Le texte prévoit dans ce cas que Mme la principale du collège propose sa répartition (elle n’a pas le choix).
- S’en est suivi la manifestation du 27 février devant le collège pour soutenir les professeurs dans leur action, qui est passée par la grève.
